FRANCE

Les traboules de Lyon

La ville de Lyon est réputée pour ses traboules, on peut même ajouter que c’est une des spécificités de cette ville.

Si l’on devait décrire brièvement les traboules, nous les comparerions à des sortes de passages à travers des cours d’immeubles permettant aux habitants de se rendre d’une rue à l’autre. L’architecture des traboules se compose de galeries, de cours à la romaine et de puits. Aujourd’hui, la plupart sont privatisées et les galeries appartiennent à des particuliers qui les ont reconvertis en terrasses personnelles. Ainsi, cela nous rappelle que ces immeubles sont avant tout des logements et que donc des habitants circulent dans les traboules, certes classées au patrimoine mondiale de l’humanité, mais avant tout un lieu de vie pour les lyonnais….

Mais si vous souhaitez en savoir plus sur les traboule lyonnaises, pourquoi ne pas lire cet article qui en traite si bien?

 

Les maisons à pans de bois de Normandie

 

Une maison à colombage est une maison constitué de deux éléments : une ossature en bois ET un hourdage en brique (le plus souvent), en plâtre ou en torchis jouant le rôle de remplissage. Le hourdage est un isolant. Cette technique de maçonnerie a été utilisé dès le Moyen Age jusqu’au XIXème siècle… Continuez votre lecture avec cet article, ou bien découvrez nos photos!

 

Les bourrines du nord-ouest Vendéen

Les bourrines sont les maisons traditionnelles du nord ouest vendéen. Elles sont construites avec les matériaux disponibles sur place : des roseaux séchés et attachés entre eux constituent l’essentiel du toit, et des petites poutres (les grands arbres ne poussent pas en grand nombre dans la région et il faut donc les protéger, et quand il y avait une maison abandonnée ou en mauvais état on privilégiait le recyclage des matériaux de construction) soutiennent l’ensemble des roseaux. Les murs sont un mélange de terre glaise, de sable (pour boucher les trous et éviter les fuites) et de paille (pour lier l’ensemble) : c’est la « toub », que l’on retrouve en Normandie (une sorte de torchis), blanchie avec de la chaux. La suite? Découvrez-la dans cet article! Et n’oubliez pas de regarder notre galerie de photos ci-dessous!

 

Les immeubles Hausmanniens

De 1852 à 1870, sous le Second Empire, de nombreuses transformations ont lieu à Paris. Napoléon III et le préfet Haussmann tentent de moderniser l’ensemble de la capitale.

Haussmann ? Cela vous parle, c’est sûr. Mais qu’en est-il ?

Tout d’abord, l’État commence par exproprier les propriétaires des terrains concernés par les plans de rénovation. Puis il détruit les immeubles et construit de nouveaux axes. Il crée aussi les équipements qui vont avec : eau, gaz, égouts. Les très connus « Grands Boulevards » prennent forme.

Pour réussir ce défi de modernisation, Haussmann fera des emprunts massifs pour trouver l’argent nécessaire aux reconstructions (50 à 80 millions de franc par an) ; la Caisse des travaux de Paris est privilégiée. Ainsi, l’État récupèrera l’argent emprunté en revendant sous forme de lots séparés les nouveaux terrains à des promoteurs qui doivent construire de nouveaux immeubles en se conformant à un cahier des charges très précis. Ce cahier donne ce que nous connaissons aujourd’hui de « l’architecture haussmannienne ».

Voici quelques règles :

(Les pouvoirs publics interviennent à la fois sur le gabarit, l’aspect esthétique et les raccordements)

– obligation pour les propriétaires de nettoyer leurs façades et de les rafraîchir tous les 10 ans

– règlementations du nivellement des voies de Paris, de l’alignement des immeubles, du raccordement à l’égout

– les toits doivent toujours s’inscrire sous une diagonale à 45 degré. A côté de cela, les façades peuvent monter jusqu’à 20m de hauteur alors que jusque ici la hauteur maximale était de 17,55m

Vous voulez en savoir plus? Alors lisez cet article!

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